Aujourd'hui, reste-t-il une place pour les poètes et les romantiques?

Dans un monde dominé par le profit et l'économique, cadenassé par les médias, la télévision, la vidéo et internet, on pourrait croire que nous sommes entrés dans l'ère des poètes disparus.

 

Et pourtant, il reste un poète parmi nous : Elio Santamaria.

 

Celui-ci manie l'art dévoquer et de suggérer les sensations, les émotions, les idées, par un emploi particulier de la langue qui joue sur les sonorités, les rytmes et les images.

 

Il y a aussi un paradoxe à ce que ce soit un fils d'immigrés qui choisisse de manier et de jongler aussi subtillement avec sa langue d'adoption.

 

Je mesure qu'il est particulièrement difficile de se faire connaître dans le monde littéraire, a fortiori, en qualité de poète. Mais, mon cher Elio, quoi qu'il puisse arriver, "garde bien ta liberté de penser".

 

 

Avec tous mes encouragements.

 

Maurice Mottart

 

Bourgmestre de Grâce-Hollogne