"COMME UN PARFUM D'EMOTION"
Les textes d'Elio Santamaria interpellent toutes les classes
sociales, mais sa poésie apporte aussi du soleil dans notre grisaille quotidienne. Bon nombre de ses textes repris dans ses ouvrages, méritent d'être lu, relus et souvent médités.
Vingt ans
Où sont passé mes vingt ans ?
Que sont devenus tous mes rêves ?
Je ne pensais pas réellement
Connaître une époque aussi brève
Ma jeunesse était-elle
Une simple chandelle
Que je pouvais brûler par les deux bouts
En restant fièrement toujours debout
J’ai dilapidé ma jeunesse
Et maintenant je régresse
La mélancolie me surprend
Je ne suis plus comme avant
Je réalise et je compte à présent
Inexorablement les instants qui passent
Alors, nonchallament je me prélasse
Des rides apparaîssent sur mon visage
Et je sens bien que l’on me dévisage
J’avais comme illusion de ne jamais vieillir
Je garde en moi un sourire comme souvenir
Mais avec l’expérience et la force de l’âge
Je m’abreuve des pensées les plus sages
Dans la vie je croyais honnêtement tout savoir
Elle est une répétition de la leçon et du devoir
Aujourd’hui c’est le jour de mon anniversaire
Le fêter n’est plus vraiment nécessaire
Le temps qui passe est devenu mon pire adversaire
Et cette nostalgie m’est apparue comme une prière
Une belle journée
Aujourd’hui il va faire beau
Je me suis levé très tôt
Bientôt il va faire jour
Je démarre au quart de tour
En forme dès le matin
Je chante dans mon bain
Je suis le bout d’entrain
Le monde m’appartient
C’est une belle journée
Ensoleillée ensoleillée
Encore une belle journée
Ca va chauffer Ca va chauffer
J’ai ouvert les yeux à l’aube
La journée va être chaude
Il faut se lever de bonne heure
Pour partager la bonne humeur
Dans ma tête ca va swinger
Car le soleil va briller
C’est une belle journée
Ensoleillée Ensoleillée
Encore une belle journée
Ca va chauffer Ca va chauffer
Tu es… et tu as…
Tu as la chaleur qui réchauffe mon cœur
Et qui..
Fait battre en moi le tambour du bonheur
Tu es le magicien qui m’a joué un tour
Et…qui…
M’a donné la chance de reconnaître la carte de l’Amour
Dans ma vie tu es enfin venu
Toi mon
bel et tendre ingénu
Dans ma vie tu es le bienvenu
Je t’ai enfin reconnu
Je garde en tête la mélodie de cette douce chanson
Car elle me donne de grands frissons
Dans mon esprit raisonnent encore tes mots que j’adore
Ils arrivent à me faire retrouver la raison en effaçant l’ampleur de
tous mes regrets et de tous mes remords
Car tu es celui qui fait vibrer mon corps
Sur ma peau s’entre ouvrent les pores
Qui se cachent sous ma toison d’or
Tu es le voleur qui a percé mon coffre fort
En dérobant mon cœur
Tu es le chevalier qui habite dans mon fort
Dans mon fort intérieur…
Le lien sacré
L’Amour durant le mariage est semblable à de la magie
Il se consume comme une simple bougie
D’abord, il est tout feu, toute flamme
Ensuite, il brûle nos pauvres âmes
Avec cet inconditionnel amour pour la femme
Nos maux il soulage et puis il nous condamne
La douce chaleur que passionnément il dégage
Réchauffe nos sentiments mis en gages
Des liens qui se dénouent avec l’usure du temps
Et qui rompent le charme de ce tendre serment
Ils glissent fatalement sur les parois d’une neuvaine
Figée dans une paroisse où l’on s’est pourtant juré fidélité
Où résonne encore l’écho des cloches qui hurlaient
Des « Je t’aime »
Que l’on a volontairement sacrifiés…
Le grand Amour
J’ai tant cherché après la femme
Avec qui j’échangerai mon âme
Afin de partager le temps d’une vie
Avec une simple et douce compagnie
J’ai parcouru le monde
J’ai beaucoup voyagé
Dans cette folle ronde
Je ne t’ai pas trouvée
Sur le chemin de mon retour
Loin des villes et de leurs désamours
J’ai regagné le sol de ma chère campagne
A la recherche d’une tendre compagne
Le mystère de l’Amour
Je l’ai découvert le jour
Où j’ai vu naître un rayon de soleil
Dans tes grands yeux bleus ciel
L’Amour te fait pousser des ailes
Déplacer des montagnes
Ce n’ai plus un problème
Quand tu peux dire « je t’aime » !
Je pense à Toi
Toi
Qui a fais le pas
De partir loin de moi
Je pense très fort à Toi
Et je respecte ton choix
Moi…qui te croyais de bonne foi
Je reste seule encore une fois
Quand l’on me parle de Toi
J’espère que tu reviennes sur tes pas
Pour me reprendre dans tes bras
Alors je le crie
Haut et fort
Alors je t’en prie
Aimes moi une fois encore
Je garde toujours sur moi
Une jolie photo de Toi
Et même si tu ne le veux pas
Je voudrais encore entendre ta voix
Alors je le crie
Haut et fort
Alors je t’en prie
Aimes moi une fois encore
Quand je pense à Toi et moi
A notre petite vie sans tracas
Toi qui me donnais tant de joie
J’en reste encore sans voix
Alors je le crie
Haut et fort
Alors je t’en prie
Aimes moi une fois encore
L’amour de la vie
La vie c’est comme une chanson
Vivre d’Amour plus que de raison !
L’Amour fait battre nos petits cœurs
La vie nous offre une part de bonheur
La vie ce sont les quatre saisons
L’Amour est le blé avant la moisson
Ce chant nous trouble la raison
Entonne donc cet air à l’unisson
La vie coule comme un fleuve tranquille
Le temps s’écroule comme le sable qui file
L’Amour nous donne de très grandes ailes
La passion se brûle autour d’une chandelle
La vie que l’on partage avec le temps
Nous donne l’Amour de tendres enfants
L’Amour éclaire leurs beaux sourires
Ils rayonnent avec leurs éclats de rires
La chance c’est le hasard qui nous la donne
Comme un moment de joie que l’on fredonne
Par Amour
Au nom de l’Amour
Que ta haine ne voit jamais le jour
Parce qu’il n’y a que l’Amour qui compte
J’aimerai tant que tu t’en rendes compte
Que je t’ai vraiment aimé
Comme je voulais être aimé
Que si nos chaînes j’ai brisé
C’est pour que tu puisses de nouveau t’envoler
Libre comme un oiseau hors de sa cage
Qui s’efface lentement dans les nuages
Tel un bateau qui prend le large dans la mer
Et qui nous laisse en bouche un goût amer
Et si un jour tu me pardonne
Sache que rien ni personne
Dans ma vie ne comblera ce fossé
Que je me suis volontairement creusé
Par Amour je t’ai laissé partir
Quitte à en devoir réellement souffrir
Parce que l’habitude engendre la monotonie
Et que je suis arrivé à l’automne de ma vie
Je préfère encore glissé dans la mélancolie
Que de ne plus savoir combler tes envies
La vie est parfois bizarre
Elle laisse souvent au hasard
Place à de tristes histoires
Qui se terminent sans espoir
Notre chemin
Je t’ai tant désirée
J’en ai même rêvé
Pouvoir te rencontrer
Et pourquoi pas t’aimer ?
J’ai tant cherché après toi
Sans le crier sur les toits
Je guettais les coins des rues
Où je pensais t’avoir aperçue
Mais celui qui nous a enfin réunis
Ce n’est pas un prêtre mais un ami
Qui a vu en toi le désir
De connaître ton autre moitié
Pour un homme qui sera entier
Plusieurs fois on a faillis se quitter
Mais tu as su bien sur nous raisonner
Nous étions vraiment désemparés
Nos larmes se sont mises à couler
Maintenant nous sommes de nouveau ensemble
La vie nous semble enfin moins dure
Le temps passe et nous partageons cette belle aventure
Dans l’histoire de notre cœur où est gravée une image qui nous ressemble
Jamais plus sans Toi
Je ne veux plus vivre sans Toi
Toi à qui j’appartiens déjà
C’est grâce à l’ampleur de tous tes jolis bouquets de fleurs
Que tu as ré-ouverts la porte de mon cœur
Je n’entends plus que le son de ta voix
Toi qui à su guider mes pas
Et me dire... demain ça ira …
Même si on à pas vraiment le choix…
Je ne désire que la chaleur de tes bras
Où je te retrouve à chaque fois
Que l’on partage les mêmes draps
Pour s’aimer encore et encore une fois
Je ne veux plus croire qu’en Toi
Toi qui d’ailleurs me connais par cœur
Lorsque tes douces caresses m’effleurent
Et assèchent mes pleurs avec le bout de tes doigts
Je ne peux vivre qu’auprès de toi
Toi avec qui mes sentiments ont trouvés une raison
De réchauffer mon âme qui vit en toi
Comme un soleil qui rayonne à travers les saisons
Il te faut du temps
Il faut du temps
Autant
Que tu t’en souviennes
Il te faudra le temps
Pour que tu le comprennes
Il faut pourtant
En même temps
Que tu l’apprennes
Prendre du bon temps
De temps en temps
Pour briser tes chaînes
Tant pis si la vie est chienne
Entre-temps regarde le bleu du ciel
Il faut qu’elle t’appartienne
Et le bon temps
Qui vient doucement
Caresse le soleil
Alors cour vers elle !
C’est le moment
De perdre haleine
Il faut pourtant
En même temps
Que tu l’apprennes
Ta main dans la mienne
Tu verras, la vie est belle
Il faut pourtant
En même temps
Que tu la prennes
Le bon sens
Donne un vrai sens à ta vie, bon sang !
Surtout ne t’avoue jamais vaincu
Sache que tu n’as pas encore tout perdu
Garde la tête haute et le regard droit devant
Ouvre les yeux en face de la nature qui se donne en spectacle
Car elle s’offre à toi à perte de vue
Et même si tu ne crois pas aux miracles
Tu ne trouveras pas la paix et la sérénité au coin d’une rue
Où sournoisement se cache un danger qui te guette
Les promesses d’un futur qui te conduiront dans le piège d’un labyrinthe
Une terrible illusion qui te poussera vers une contrainte
Et qui résonnera comme l’écho d’une triste complainte
Force toi à conserver indéfiniment un moral d’acier
En cultivant sans cesse le fruit de la passion
Et de ne pas bêtement laisser tomber
Le bonheur de ton jeune âge où tu as trouvé la raison
Profite de ta jeunesse en toute confiance
Avec tes amis partage ton insouciance
Ne baisse pas les bras et continue de croire
A tout le potentiel qui demeure dans
l’espoir…
Trop injuste !
A l’automne de ma vie j’espère encore
Que celle-ci me réserve un meilleur sort
Qu’elle m’offre un peu de réconfort
De vivre sereinement en paix tout d’abord
Je lui demande tout simplement pas grand chose
De pouvoir quitter cette ambiance au climat plutôt morose
Etre un homme qui a pour seule richesse
La bonté et toute sa tendre gentillesse
Cette tendresse que même ses entrailles blessent
Avec l’absence et la douleur qui le méconnaissent
Posséder comme seul trésor
Un cœur gros mais encore en or
Où la force de l’Amour ne reconnaît pas l’effort
Qui se dissipe parmi l’orgueil de tous ses torts
Dans la course effrénée de cette époque moderne
Où l’argent et son pouvoir dominent
On découvre sur nos visages cette couleur terne
C’est la pauvreté des esprits qui s’animent
En transe dans une maudite danse folle
Dont vraiment tout le monde en raffole
Et lorsque la mort frappera à notre porte
Que le diable en personne nous emporte
Dans un enfer où même la chaleur réconforte
Le froid de notre malheureuse nature morte
Car si le gel glace le corps des plus démunis
Que dans le fond de leurs âmes ils sont meurtris
Une douce chaleur comblera leur humbles envies
Devant l’ingratitude que nous afflige cette triste vie
Une infâme terreur
A chaque fois qu’ils frappent les fidèles avec un effet de surprise
Ils provoquent inévitablement un épouvantable état de crise
Ils sèment un terrible effroi qui vous glace le sang
Aucune pitié ! Même pas pour nos enfants…
Ils bafouent sans exception tous les codes d’honneur
Et semblent aussi ignorer ce que représente la peur
Ils n’ont plus malencontreusement froid aux yeux
Car ils ne jurent malheureusement que par leur seul dieu
Aujourd’hui c’est encore le drame
Un jour de deuil nous déclame
« A la veille de Noël, ils ont brisé nos âmes »
« Ces sois disant soldats de l’Islam »
Ces martyres sans foi ni lois
Sont comme des kamikazes
Ils se jettent à corps perdu
Dans les oubliettes de l’enfer
Ils ont emporté une bien pauvre victoire
En marquant une triste page de l’Histoire
Mais ils ne résoudront jamais l’utopie de leurs propres conflits
Car ce sont les esclaves d’un règne qu’ils ont pourtant choisis
Une ignoble attitude qui n’a pas raison d’être
Comme l’existence des intérêts de la guerre
Lettre à une amie
Mon amie Lili…
J’aimerai que tu dises
A ta future amie
Je vous voudrais qu’elle lise
Ce que je t’ai écris
J’aimerais que tu lui parles
De moi, comme une bonne amie
Je souhaiterais lui faire savoir
Que pour moi tu as réellement compté
Avec le respect et la fidélité
C’était une vraie amitié
Un jour tu as choisis
D’avoir une autre amie
Ar à l’étranger pour toujours, je suis partie
Au fait, tu n’as jamais compris
Pourquoi je ne te l’avais pas dis
Et cela tu ne l’as pas encore admis
Mais pour moi cette faute est pardonnable
Et le poids de ton silence m’accable
J’espère qu’elle sera
Aussi fidèle que moi
Une oreille attentive
Une réelle confidente
Que partout, elle te suive
Comme le tendre et le fin souffle du vent
Qui emporte tes secrets et tes confidences
Car en toutes occasions, j’avais ta confiance
Que cette brise légère et pure, murmure tout en silence
Le doux et simple frémissement de ma présence
Entre la vie et la mort
Il n’y a qu’un pas à franchir
Rien ne sert de se mentir
Entre la vie et la mort
Plane le mystère sur notre triste sort
Le miracle de la vie
Engendre lui aussi
Le plus grand des défit
Dans une époque où l’on survit
La grande faucheuse est sans pitié
En nous coupe l’herbe sous les pieds
Elle frappe en hiver comme en été
Et nous dérobe même nos nouveaux nés
Alors par acquit de conscience
Elle s’infiltre dans les voies de la science
Afin de nous faire miroiter une dernière chance
Où se confondent le hasard et l’illusion d’une future renaissance
La mort rode dans les humbles chaumières
Où les plus pauvres font des prières
En espérant atteindre la clarté de la lumière
Sans devoir braver les flammes de l’enfer
Alors s’il existe un dieu dans cet univers
Il est grand temps que la paix règne sur terre
Afin que nos esprits et nos âmes ne soient plus torturés
Et puissent enfin profiter du respect qu’offre la sérénité
A ta porte
J’irai frapper à ta porte
Dès-que j’aurai le besoin de parler
Car tu es la seule personne
A qui je peux sans crainte me confier
Si pour toi je n’ai plus de secret
C’est parce que ma vie tu la connais
Comme elle est faite de hauts et de bas
Je sais pertinemment que tu ne me jugeras pas
Et si par malheur je trébuche encore une fois
Je puiserai la force dans le creux de tes bras
Du premier coup je ne me relèverai peut-être pas
Mais pas à pas vers une solution tu me guideras
C’est encore avec toi que j’emprunterai ce sentier
Sans remettre en question notre fidèle complicité
La vie nous laisse toujours une fenêtre entre-ouverte
Malgré que les rideaux occultent cette douce clarté
La nuit se cache sous la forme de l’obscurité
Laissant pleurer nos âmes abandonnées…
Amis-Amants
Nous étions de bons amis
Devenus de grands amants
Et devant ce fait accompli
On a partagé le même lit
On s’était pourtant dis
C’est pour tout le temps
On s’était juré fidélité
Et de ne plus se quitter
Dans mes rêves devenus réalité
Les matinées où je l’avais tant convoité
Tu avais comme seul souhait
De déjeuner simplement en paix
Un jour la vie à soudainement décidé
Que nos chemins qui s’étaient croisés
Devait cruellement se séparer
On avait pourtant pensé
Faire ensemble le bon choix
On s’est malheureusement trompés
Et l’on se demande encore pourquoi
Le destin ne connait pas de pitié
Et nous a tout deux châtiés
En nous privant de notre belle moitié
Sans plus connaître l’amour ni l’amitié
Ma mère
Ma mère avait les yeux bleus
Et dans le bleu de ses yeux
J’ai vu naître le feu
De mon regard amoureux
Elle était ma meilleure amie, ma complice
Nos deux esprits étaient remplis de malice
Nous étions de vrais binômes, en symbioses
Comme sont unis un couple de flamands roses
J’aimais lui offrir des fleurs
Lorsqu’elle était en pleur
Car elle avait parfois du mal à comprendre la vie d’un petit bout
Une étrange orpheline qui accusait un abandon, un mauvais coup
Ma mère n’était pas ma maman
Mais elle m’a donné tout son temps
Je lui doit ce que je suis devenue
Une fille de cœur
Et maintenant je suis parvenue
A oublié ma peur
A présent qu’elle brille dans le ciel
Comme une étoile de couleur miel
A chaque fois je m’émerveille
De savoir que sur moi, elle veille
Salut l’ami
Bras dessus--- bras dessous ///Nous étions jeunes et bon amis
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous
La nuit toujours debout
Pour faire les 400 cents coups
---------------------------------------------------------------------------------------------------------1er couplet
Bras dessus---bras dessous
Nous étions complices
Et remplis de malices
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et sans le sous
La nuit toujours debout pour faire les 400 cents coups
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Où sont passés nos vingt ans l’ami///Cela n’arrive qu’une seule fois 1er refrain
Une fois seulement dans la vie, mon ami///La jeunesse nous a sourie, hé oui
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Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et valeureux
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et fort chanceux
La nuit toujours debout pour faire les 400 cents coups
--------------------------------------------------------------------------------------------------------2ème couplet
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et bon vivants
Bras dessus---bras dessous///On mordait la vie à pleine dents
La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups
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Tant d’années passées à tes côtés///Sans briser notre amitié
Et même si les gens ont bien changés 2ème refrain
Ils n’ont pas su vraiment nous séparer…nous séparer
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Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et bons amis
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous
La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups
---------------------------------------------------------------------------------------------------------3ème couplet
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et dans le coup
Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous
La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups
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Où sont passé nos vingt ans l’ami///Cela n’arrive qu’une seule fois
Une fois seulement dans la vie, mon ami
La jeunesse nous a sourie…
Tant d’années passées à tes côtés-------------------------------------------------------------3ème refrain
Sans brisé notre amitié
Et même si les gens ont bien changés
Ils n’ont pas su nous séparer, nous séparer…
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