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                      Vingt ans

Où sont passé mes vingt ans ?

Que sont devenus tous mes rêves ?

Je ne pensais pas réellement

Connaître une époque aussi brève

Ma jeunesse était-elle

Une simple chandelle

Que je pouvais brûler par les deux bouts

En restant fièrement toujours debout

J’ai dilapidé ma jeunesse

Et maintenant je régresse

La mélancolie me surprend

Je ne suis plus comme avant

Je réalise et je compte à présent

Inexorablement les instants qui passent

Alors, nonchallament je me prélasse

Des rides apparaîssent sur mon visage

Et je sens bien que l’on me dévisage

J’avais comme illusion de ne jamais vieillir

Je garde en moi un sourire comme souvenir

Mais avec l’expérience et la force de l’âge

Je m’abreuve des pensées les plus sages

Dans la vie je croyais honnêtement tout savoir

Elle est une répétition de la leçon et du devoir

Aujourd’hui c’est le jour de mon anniversaire

Le fêter n’est plus vraiment nécessaire

Le temps qui passe est devenu mon pire adversaire

Et cette nostalgie m’est apparue comme une prière

       Une belle journée

 

 

Aujourd’hui il va faire beau

Je me suis levé très tôt

Bientôt il va faire jour

Je démarre au quart de tour

En forme dès le matin

Je chante dans mon bain

Je suis le bout d’entrain

Le monde m’appartient

C’est une belle journée

Ensoleillée ensoleillée

Encore une belle journée

Ca va chauffer Ca va chauffer

J’ai ouvert les yeux à l’aube

La journée va être chaude

Il faut se lever de bonne heure

Pour partager la bonne humeur

Dans ma tête ca va swinger

Car le soleil va briller

C’est une belle journée

Ensoleillée Ensoleillée

Encore une belle journée

Ca va chauffer Ca va chauffer

                            Tu es… et tu as…

Tu as la chaleur qui réchauffe mon cœur

Et qui..

Fait battre en moi le tambour du bonheur

Tu es le magicien qui m’a joué un tour

Et…qui…

M’a donné la chance de reconnaître la carte de l’Amour

Dans ma vie tu es enfin venu

Toi mon

 bel et tendre ingénu

Dans ma vie tu es le bienvenu

Je t’ai enfin reconnu

Je garde en tête la mélodie de cette douce chanson

Car elle me donne de grands frissons

Dans mon esprit raisonnent encore tes mots que j’adore

Ils arrivent à me faire retrouver la raison en effaçant l’ampleur de

 tous mes regrets et de tous mes remords

Car tu es celui qui fait vibrer mon corps

Sur ma peau s’entre ouvrent les pores

Qui se cachent sous ma toison d’or

Tu es le voleur qui a percé mon coffre fort

En dérobant mon cœur

Tu es le chevalier qui habite dans mon fort

Dans mon fort intérieur…

 

                                                                                     

Le lien sacré

 

 

 

L’Amour durant le mariage est semblable à de la magie

Il se consume comme une simple bougie

D’abord, il est tout feu, toute flamme

Ensuite, il brûle nos pauvres âmes

 

Avec cet inconditionnel amour pour la femme

Nos maux il soulage et puis il nous condamne

 

La douce chaleur que passionnément il dégage

Réchauffe nos sentiments mis en gages

Des liens qui se dénouent avec l’usure du temps

Et qui rompent le charme de ce tendre serment

Ils glissent fatalement sur les parois d’une neuvaine

Figée dans une paroisse où l’on s’est pourtant juré fidélité

 

Où résonne encore l’écho des cloches qui hurlaient

Des « Je t’aime »

 

Que l’on a volontairement sacrifiés…

Le grand Amour

J’ai tant cherché après la femme

Avec qui j’échangerai mon âme

Afin de partager le temps d’une vie

Avec une simple et douce compagnie

 

 J’ai parcouru le monde

J’ai beaucoup voyagé

Dans cette folle ronde

Je ne t’ai pas trouvée

Sur le chemin de mon retour

Loin des villes et de leurs désamours

J’ai regagné le sol de ma chère campagne

A la recherche d’une tendre compagne

 

Le mystère de l’Amour

Je l’ai découvert le jour

Où j’ai vu naître un rayon de soleil

Dans tes grands yeux bleus ciel

L’Amour te fait pousser des ailes

Déplacer des montagnes

Ce n’ai plus un problème

Quand tu peux dire « je t’aime » ! 

Je pense à Toi

Toi

Qui a fais le pas

De partir loin de moi

Je pense très fort à Toi

Et je respecte ton choix

Moi…qui te croyais de bonne foi

Je reste seule encore une fois

Quand l’on me parle de Toi

J’espère que tu reviennes sur tes pas

Pour me reprendre dans tes bras

Alors je le crie

Haut et fort

Alors je t’en prie

Aimes moi une fois encore

Je garde toujours sur moi

Une jolie photo de Toi

Et même si tu ne le veux pas

Je voudrais encore entendre ta voix

Alors je le crie

Haut et fort

Alors je t’en prie

Aimes moi une fois encore

Quand je pense à Toi et moi

A notre petite vie sans tracas

Toi qui me donnais tant de joie

J’en reste encore sans voix

Alors je le crie

Haut et fort

Alors je t’en prie

Aimes moi une fois encore

L’amour de la vie

 

La vie c’est comme une chanson

Vivre d’Amour plus que de raison !

L’Amour fait battre nos petits cœurs

La vie nous offre une part de bonheur

 

La vie ce sont les quatre saisons

L’Amour est le blé avant la moisson

Ce chant nous trouble la raison

Entonne donc cet air à l’unisson

 

La vie coule comme un fleuve tranquille

Le temps s’écroule comme le sable qui file

L’Amour nous donne de très grandes ailes

La passion se brûle autour d’une chandelle

 

La vie que l’on partage avec le temps

Nous donne l’Amour de tendres enfants

L’Amour éclaire leurs beaux sourires

Ils rayonnent avec leurs éclats de rires

 

La chance c’est le hasard qui nous la donne

Comme un moment de joie que l’on fredonne

Par Amour

 

 

 

Au nom de l’Amour

Que ta haine ne voit jamais le jour

Parce qu’il n’y a que l’Amour qui compte

J’aimerai tant que tu t’en rendes compte

Que je t’ai vraiment aimé

Comme je voulais être aimé

Que si nos chaînes j’ai brisé

C’est pour que tu puisses de nouveau t’envoler

Libre comme un oiseau hors de sa cage

Qui s’efface lentement dans les nuages

Tel un bateau qui prend le large dans la mer

Et qui nous laisse en bouche un goût amer

Et si un jour tu me pardonne

Sache que rien ni personne

Dans ma vie ne comblera ce fossé

Que je me suis volontairement creusé

Par Amour je t’ai laissé partir

Quitte à en devoir réellement souffrir

Parce que l’habitude engendre la monotonie

Et que je suis arrivé à l’automne de ma vie

Je préfère encore glissé dans la mélancolie

Que de ne plus savoir combler tes envies

La vie est parfois bizarre

Elle laisse souvent au hasard

Place à de tristes histoires

Qui se terminent sans espoir

Notre chemin

Je t’ai tant désirée

J’en ai même rêvé

Pouvoir te rencontrer

Et pourquoi pas t’aimer ?

J’ai tant cherché après toi

Sans le crier sur les toits

Je guettais les coins des rues

Où je pensais t’avoir aperçue

 

Mais celui qui nous a enfin réunis

Ce n’est pas un prêtre mais un ami

Qui a vu en toi le désir

De connaître ton autre moitié

Pour un homme qui sera entier

Plusieurs fois on a faillis se quitter

Mais tu as su bien sur nous raisonner

Nous étions vraiment désemparés

Nos larmes se sont mises à couler

 

Maintenant nous sommes de nouveau ensemble

La vie nous semble enfin moins dure

Le temps passe et nous partageons cette belle aventure

Dans l’histoire de notre cœur où est gravée une image qui nous ressemble

Jamais plus sans Toi

 

Je ne veux plus vivre sans Toi

Toi à qui j’appartiens déjà

C’est grâce à l’ampleur de tous tes jolis bouquets de fleurs

Que tu as ré-ouverts la porte de mon cœur

Je n’entends plus que le son de ta voix

Toi qui à su guider mes pas

Et me dire... demain ça ira …

Même si on à pas vraiment le choix…

Je ne désire que la chaleur de tes bras

Où je te retrouve à chaque fois

Que l’on partage les mêmes draps

Pour s’aimer encore et encore une fois

Je ne veux plus croire qu’en Toi

Toi qui d’ailleurs me connais par cœur

Lorsque tes douces caresses m’effleurent

Et assèchent mes pleurs avec le bout de tes doigts

Je ne peux vivre qu’auprès de toi

Toi avec qui mes sentiments ont trouvés une raison

De réchauffer mon âme qui vit en toi

Comme un soleil qui rayonne à travers les saisons

Il te faut du temps

 

Il faut du temps

Autant

Que tu t’en souviennes

Il te faudra le temps

Pour que tu le comprennes

Il faut pourtant

En même temps

Que tu l’apprennes

Prendre du bon temps

De temps en temps

Pour briser tes chaînes

Tant pis si la vie est chienne

Entre-temps regarde le bleu du ciel

Il faut qu’elle t’appartienne

Et le bon temps

Qui vient doucement

Caresse le soleil

Alors cour vers elle !

C’est le moment

De perdre haleine

Il faut pourtant

En même temps

Que tu l’apprennes

Ta main dans la mienne

Tu verras, la vie est belle

Il faut pourtant

En même temps

Que tu la prennes           

Le bon sens

 

Donne un vrai sens à ta vie, bon sang !

Surtout ne t’avoue  jamais vaincu

Sache que tu n’as pas encore tout perdu

Garde la tête haute et le regard droit devant

 

Ouvre les yeux en face de la nature qui se donne en spectacle

Car elle s’offre à toi à perte de vue

Et même si tu ne crois pas aux miracles

Tu ne trouveras pas  la paix et la sérénité au coin d’une rue

 

Où sournoisement se cache un danger qui te guette

Les promesses d’un futur qui te conduiront dans le piège d’un labyrinthe

Une terrible illusion qui te poussera vers une contrainte

Et qui résonnera comme l’écho d’une triste complainte

 

Force toi à conserver indéfiniment un moral d’acier

En cultivant sans cesse le fruit de la passion

Et de ne pas bêtement laisser  tomber

Le bonheur de ton jeune âge où tu as trouvé la raison

 

Profite de ta jeunesse en toute confiance

 Avec tes amis partage ton insouciance

Ne baisse pas les bras et continue de croire

A tout le potentiel qui demeure dans

l’espoir…

Trop injuste !

 

A l’automne de ma vie j’espère encore

Que celle-ci me réserve un meilleur sort

Qu’elle m’offre un peu de réconfort

De vivre sereinement en paix tout d’abord

Je lui demande tout simplement pas grand chose

De pouvoir quitter cette ambiance au climat plutôt morose

 

Etre un homme qui a pour seule richesse

La bonté et toute sa tendre gentillesse

Cette tendresse que même ses entrailles blessent

Avec l’absence et la douleur qui le méconnaissent

Posséder comme seul trésor

Un cœur gros mais encore en or

Où la force de l’Amour ne reconnaît pas l’effort

Qui se dissipe parmi l’orgueil de tous ses torts

Dans la course effrénée de cette époque moderne

Où l’argent et son pouvoir dominent

On découvre sur nos visages cette couleur terne

C’est la pauvreté des esprits qui s’animent

En transe dans une maudite danse folle

Dont vraiment tout le monde en raffole

 

Et lorsque la mort frappera à notre porte

Que le diable en personne nous emporte

Dans un enfer où même la chaleur réconforte

Le froid de notre malheureuse nature morte

 

Car si le gel glace le corps des plus démunis

Que dans le fond de leurs âmes ils sont meurtris

Une douce chaleur comblera leur humbles envies

Devant l’ingratitude que nous afflige cette triste vie

Une infâme terreur

 

 A chaque fois qu’ils frappent les fidèles avec un effet de surprise

Ils provoquent inévitablement un épouvantable état de crise

Ils sèment un terrible effroi qui vous glace le sang

Aucune pitié ! Même pas pour nos enfants…

 

Ils bafouent sans exception tous les codes d’honneur

Et semblent aussi ignorer ce que représente la peur

Ils n’ont plus malencontreusement froid aux yeux

Car ils ne jurent malheureusement que par leur seul dieu

 

Aujourd’hui c’est encore le drame

Un jour de deuil nous déclame

« A la veille de Noël, ils ont brisé nos âmes »

« Ces sois disant soldats de l’Islam »

 

Ces martyres sans foi ni lois

Sont comme des kamikazes

Ils  se jettent à corps perdu

Dans les oubliettes de l’enfer

 

Ils ont emporté une bien pauvre victoire

En marquant une triste page de l’Histoire

Mais ils ne résoudront jamais l’utopie de leurs propres conflits

Car ce sont les esclaves d’un règne qu’ils ont pourtant choisis

Une ignoble attitude qui n’a pas raison d’être

Comme l’existence des intérêts de la guerre

Lettre à une amie

 

Mon amie Lili…

 

J’aimerai que tu dises

A ta future amie

Je vous voudrais qu’elle lise

Ce que je t’ai écris

J’aimerais que tu lui parles

De moi, comme une bonne amie

Je souhaiterais lui faire savoir

Que pour moi tu as réellement compté

Avec le respect et la fidélité

C’était une vraie amitié

Un jour tu as choisis

D’avoir une autre amie

Ar à l’étranger pour toujours, je suis partie

Au fait, tu n’as jamais compris

Pourquoi je ne te l’avais pas dis

Et cela tu ne l’as pas encore admis

Mais pour moi cette faute est pardonnable

Et le poids de ton silence m’accable

J’espère qu’elle sera

Aussi fidèle que moi

Une oreille attentive

Une réelle confidente

Que partout, elle te suive

Comme le tendre et le fin souffle du vent

Qui emporte tes secrets et tes confidences

Car en toutes occasions, j’avais ta confiance

Que cette brise légère et pure, murmure tout en silence

Le doux et simple frémissement de ma présence

 Entre la vie et la mort

 

 

  Il n’y a qu’un pas à franchir

Rien ne sert de se mentir

Entre la vie et la mort

Plane le mystère sur notre triste sort

Le miracle de la vie

Engendre lui aussi

Le plus grand des défit

Dans une époque où l’on survit

La grande faucheuse est sans pitié

En nous coupe l’herbe sous les pieds

Elle frappe en hiver comme en été

Et nous dérobe même nos nouveaux nés

Alors par acquit de conscience

Elle s’infiltre dans les voies de la science

Afin de nous faire miroiter une dernière chance

  Où se confondent le hasard et l’illusion d’une future renaissance

La mort rode dans les  humbles chaumières

Où les plus pauvres font des prières

En espérant atteindre la clarté de la lumière

Sans devoir braver les flammes de l’enfer

Alors s’il existe un dieu dans cet univers

Il est grand temps que la paix règne sur terre

Afin que nos esprits et nos âmes ne soient plus torturés

Et puissent enfin profiter du respect qu’offre la sérénité

A ta porte

 

J’irai frapper à ta porte

Dès-que j’aurai le besoin de parler

Car tu es la seule personne

A qui je peux sans crainte me confier

Si pour toi je n’ai plus de secret

C’est parce que ma vie tu la connais

Comme elle est faite de hauts et de bas

Je sais pertinemment que tu ne me jugeras pas

Et si par malheur je trébuche encore une fois

Je puiserai la force dans le creux de tes bras

Du premier coup je ne me relèverai peut-être pas

Mais pas à pas vers une solution tu me guideras

C’est encore avec toi que j’emprunterai ce sentier

Sans remettre en question notre fidèle complicité

La vie nous laisse toujours une fenêtre entre-ouverte

Malgré que les rideaux occultent cette douce clarté

La nuit se cache sous la forme de l’obscurité

Laissant pleurer nos âmes abandonnées…

Amis-Amants

 

Nous étions de bons amis

Devenus de grands amants

Et devant ce fait accompli

On a partagé le même lit

On s’était pourtant dis

C’est pour tout le temps

On s’était juré fidélité

Et de ne plus se quitter

Dans mes rêves devenus réalité

Les matinées où je l’avais tant convoité

Tu avais comme seul souhait

De déjeuner simplement en paix

Un jour la vie à soudainement décidé

Que nos chemins qui s’étaient croisés

Devait cruellement se séparer

On avait pourtant pensé

Faire ensemble le bon choix

On s’est malheureusement trompés

Et l’on se demande encore pourquoi

Le destin ne connait pas de pitié

Et nous a tout deux châtiés

En nous privant de notre belle moitié

Sans plus connaître l’amour ni l’amitié

Ma mère

 

 

Ma mère avait les yeux bleus

Et dans le bleu de ses yeux

J’ai vu naître le feu

De mon regard amoureux

Elle était ma meilleure amie, ma complice

Nos deux esprits étaient remplis de malice

Nous étions de vrais binômes, en symbioses

Comme sont unis un couple de flamands roses

J’aimais lui offrir des fleurs

Lorsqu’elle était en pleur

Car elle avait parfois du mal à comprendre la vie d’un petit bout

Une étrange orpheline qui accusait un abandon, un mauvais coup

Ma mère n’était pas ma maman

Mais elle m’a donné tout son temps

Je lui doit ce que je suis devenue

Une fille de cœur

Et  maintenant je suis parvenue

A oublié ma peur

 

A présent qu’elle brille dans le ciel

Comme une étoile de couleur miel

A chaque fois je m’émerveille

De savoir que sur moi, elle veille

                         Salut l’ami

Bras dessus--- bras dessous ///Nous étions jeunes et bon amis

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous

La nuit toujours debout

Pour faire les 400 cents coups

---------------------------------------------------------------------------------------------------------1er couplet

Bras dessus---bras dessous

Nous étions complices

Et remplis de malices

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et sans le sous

La nuit toujours debout pour faire les 400 cents coups

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Où sont passés nos vingt ans l’ami///Cela n’arrive qu’une seule fois                    1er refrain

Une fois seulement dans la vie, mon ami///La jeunesse nous a sourie, hé oui

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Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et valeureux

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et fort chanceux                      

La nuit toujours debout pour faire les 400 cents coups

--------------------------------------------------------------------------------------------------------2ème couplet

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et bon vivants

Bras dessus---bras dessous///On mordait la vie à pleine dents

La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups

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Tant d’années passées à tes côtés///Sans briser notre amitié

Et même si les gens ont bien changés                                                                         2ème refrain

Ils n’ont pas su vraiment nous séparer…nous séparer

---------------------------------------------------------------------------------------------------------

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et bons amis

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous

La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups

---------------------------------------------------------------------------------------------------------3ème couplet

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et dans le coup

Bras dessus---bras dessous///Nous étions jeunes et vraiment fous

La nuit toujours debout///Pour faire les 400 cents coups

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Où sont passé nos vingt ans l’ami///Cela n’arrive qu’une seule fois

Une fois seulement dans la vie, mon ami

La jeunesse nous a sourie…

Tant d’années passées à tes côtés-------------------------------------------------------------3ème refrain               

Sans brisé notre amitié

Et même si les gens ont bien changés

Ils n’ont pas su nous séparer, nous séparer…

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